Des paillettes au canon!!!
C’est d’abord son rire qui m’a interpellé. Un rire vrai, franc. Ce rire qui explose de tout son être et qui jaillit à 1000 lieux à la ronde. Ce rire, je l’ai déjà entendu, chez moi, aux Antilles. Ce rire, qui vient du cœur, des entrailles. Alors quand elle a éclaté de rire et qu’elle a commencé à chanter et à danser sur Lycinais Jean, j’ai regardé jusqu’à la fin et j’ai su que cette femme jouerait un rôle dans ma vie. C’était une story sur Instagram et ce jour-là, j’ai fait la connaissance de Mavic Bright.
Mavic c’est Manuela de son prénom. Un petit bout de femme, qui a décidé que la vie ne devait être vécue que d’une seule façon: selon nos propres règles.
Mavic est un mindset coach. Ce terme américain (yeah baby) décrit une personne qui va nous aider à atteindre nos objectifs en travaillant sur notre état d’esprit. Et là, je perds 50% des français si ce n’est pas plus. Parce que oui, le coaching hormis sportif n’est pas véritablement entré dans nos mœurs alors que dans d’autres pays et notamment anglophones, c’est une technique totalement intégrée.
On a l’impression que le coaching est une nouvelle lubie alors que Socrate procédait déjà à ce qu’il appelait autrefois « l’art d’accoucher les esprits » permettant à ses interlocuteurs de découvrir des vérités qu’ils possédaient en eux-mêmes grâce à un travail d’analyse et de réflexion. Aujourd’hui, le principe est le même, seul le nom a changé.
Alors quand Mavic a lancé son programme « Ananas royal », je n’ai pas hésité. Je n’ai pas hésité parce que j’avais déjà mis en pratique son travail. Un travail sur moi-même qui avait été inconfortable et que je n’avais pas fini d’ailleurs. Parce que soyons honnête, très souvent la vérité que l’on apprend sur soi met mal à l’aise et quand on n’a pas l’habitude de cet exercice soit, on affronte les choses et on garde la tête haute, ou soit on abandonne. Et à votre avis qu’est-ce-que Bibli a fait? J’ai abonné.
J’ai abonné avec une pointe de regret. Une pointe parce que je me suis trouvée des excuses pour ne pas avoir terminé. Je suis plutôt balaise quand je dois me raconter des conneries. Mais quand elle a lancé ce nouveau défi, j’ai sauté sur l’occasion, parce qu’on fond de moi, j’espérais qu’elle m’aiderait à trouver des réponses à mes questions.
Je pense avoir confiance en moi, mais, je doute tellement de mes compétences, que chaque projet est sans cesse remis en question. Je pense être douée mais je serais la première à ne pas montrer mon travail tant que je n’approcherais pas de la « perfection ». Je suis contradictoire, oui, je sais. Et je pourrais continuer comme ça toute la nuit.
Me voilà enfin membre de la team Ananas royale. Je suis hyper contente, parce que j’ai l’impression d’être rentrée dans quelque chose d’énorme et surtout de totalement différent de ma manière de travailler. Je ne demande jamais d’aide, sauf à Doudou et parce que c’est mon mec. J’ai toujours peur de déranger, qu’on me prenne pour une imbécile, quelqu’un qui ne sait rien et là encore, je peux vous en écrire tout un livre.
Mes premiers pas dans ce programme sont motivants. J’avance relativement, aisément, rien de véritablement dérangeant comme la fois d’avant, donc je kiff. Et puis arrive ce jour. Cet exercice. Un exercice que je ne comprends pas, parce que je n’ai pas de réponse. Pas que l’intitulé soit incompréhensible, mais parce que je n’arrive tout simplement pas à trouver ces réponses. Alors je demande de l’aide à Mavic. Elle m’aide, mais je n’y arrive toujours pas, parce qu’au final, elle ne m’a pas donné la réponse. Alors je tourne en rond pendant plusieurs jours. Je retourne le problème dans ma tête jusqu’au jour où je me pose la question véritablement. Ce jour-là, j’ai baissé les armes et j’ai repensé à ce que Mavic m’avait dit le jour où je lui ai demandé son aide. Elle ne m’avait pas donné la réponse parce qu’elle ne l’avait pas, mais elle m’avait montré le chemin à suivre. Et c’est ce jour là que j’ai compris pourquoi j’avais besoin d’une Mavic dans ma vie. Elle n’aurait pas les réponses toutes faites à mes questions, mais elle m’aiderait à prendre le chemin, voir à faire demi-tour pour arriver où je le souhaite.
Le développement personnel est quelque chose de personnel et on a tendance à l’oublier. Personne ne pourra avoir de meilleures réponses que vous-même. Par contre un bon coach saura vous aiguiller, vous dire la vérité aussi inconfortable, douloureuse soit-elle. Un bon coach aura le recul nécessaire pour faire ressortir le potentiel que vous ne voyez pas. Un vrai coach saura vous écouter et faire de vous une personne unique grâce à vos forces et faiblesses.
J’ai terminé le programme Ananas royale et vous savez quoi, je n’ai pas trouvé un coach. J’ai trouvé un mentor. Merci Mavic.
Thia
2 commentaires
Amandine Bertrand
Hé ben, ça donne envie! Mais, effectivement, le développement personnel c’est… personnel! Et parce que ça l’est, ce n’est pas facile tous les jours. Se regarder en face, accepter de s’améliorer, d’améliorer sa vie, trouver où on est et où on veut aller et prendre cette direction. Il n’y a là aucune étape simple mais elles sont toutes tellement enrichissantes! Merci pour ce partage en tout cas, je ne connaissais pas pas Mavik ni l’Ananas royale.
Thia Brownsugar
Merci Amandine pour ce partage. A bientôt